Revue internationale de référence en formation des adultes fondée en 1969.

N°171

2007-2
Orientation et développement des métiers

10,00 

Bernard PROT

Un métier d’avenir

Sans réduire les nombreuses différences entre les professionnels de l’orientation, leurs fonctions sociales et les organisations qui les emploient, on note qu’ils travaillent tous aux « frontières » des genres sociaux : entre la famille, l’école et ses options, la formation professionnelle, les milieux de travail. A partir de travaux déjà publiés et d’une lecture des autres articles de ce dossier d’Education permanente, l’auteur propose de considérer l’orientation comme une activité par laquelle le sujet lui-même tente d’établir de nouvelles liaisons entre ses milieux de vie, qui sont autant des sources de dilemmes et même de contradictions. L’analyse de quelques situations étudiées montre que la fonction du « conseiller » peut consister à favoriser le développement de ces liaisons. Mais pour avancer plus systématiquement sur cette hypothèse, il convient d’établir des cadres de travail partagés et durables entre les deux psychologies de l’orientation : celle des conceptions théoriques et celle des conceptions développées par les professionnels du domaine, dans l’action. Le point de vue adopté est celui de la clinique de l’activité.

 

Régis Ouvrier-BONNAZ

De l’orientation professionnelle à l’orientation scolaire, des dispositifs à construire

Dans cet article, les métiers de l’orientation sont regardés sous l’angle de l’histoire sociale de l’orientation depuis plus d’un siècle. Dans la discussion des contributions touchant plus directement le domaine de l’orientation scolaire, trois points sont abordés : la construction et l’installation de dispositif de travail adapté aux situations d’orientation ; les connaissances susceptibles de venir étayer les activités d’orientation et leur mode de transmission ; les apprentissages visés dans les situations installées regardés sous l’angle du processus de transformation observable au niveau des sujets et du métier. Ces trois points sont discutés en lien avec la construction d’une didactique de l’orientation scolaire et professionnelle et le développement du métier de conseiller d’orientation-psychologue.

 

Gabriel FERNANDEZ, Alain MALHERBE

Conseiller d’orientation-psychologue : un métier discuté

Les auteurs ont mené une intervention de terrain auprès d’un groupe de conseillers d’orientation-psychologues (Cop). L’analyse de leur activité n’avait d’autre but que le développement possible du métier. A cette fin, ils ont organisé cinq réunions du groupe de Cop volontaires et des observations de terrain avant de filmer l’activité de quatre d’entre eux. Ils ont ensuite enregistré les autoconfrontations simples et croisées avant de reprendre les controverses professionnelles avec l’ensemble du groupe. L’analyse de trois extraits permet de constater que la multiplicité des destinataires des énoncés conduit les Cop à développer le regard qu’ils portent sur leur métier. En évitant les dangers d’une écoute empathique qui risque d’envelopper l’analyse, les auteurs ont cherché à encourager le développement des affects et des sentiments. Le cadre dialogique des autoconfrontations permet un mouvement de la pensée, étayé sur sa dimension affective, qui les conduit à redécouvrir le réel de leur activité de travail. on suppose qu’il existe un lien entre le mouvement de la pensée en autoconfrontation croisée et le développement possible de l’activité de ces professionnels.

 

Sylvie AMICI, Jacques LE MOIGNE

Questionner sa pratique de conseiller d’orientation-psychologue pour faire vivre le métier

Deux conseillers d’orientation-psychologues (Cop) rendent compte d’une étude sur leur propre métier à partir de la méthode de l’autoconfrontation croisée. Ils écrivent du point de vue de leur pratique professionnelle, en s’adressant à leurs collègues, à propos de ce que leur a apporté cette recherche et des effets qu’elle a produits sur leur propre pratique. Ils montrent comment, dans un contexte de remise en cause de la fonction sociale des métiers de l’orientation, la confrontation de manières de faire différentes entre eux et avec d’autres collègues a permis d’élargir leur pratique, et ainsi d’enrichir la palette des façons de l’exercer. La mise en regard avec le point de vue des chercheurs qui ont conduit l’étude et l’adressage des effets de l’étude au-delà de la seule profession de Cop sont une opportunité d’élargir leur horizon pour penser les questions de l’orientation et développer le métier.

 

Catherine REMERMIER, Pierre VÉRILLON, Christiane WERTHE

Prendre des risques, du travail à l’école

Cet article s’intéresse aux relations susceptibles d’être établies entre la connaissance des activités professionnelles par des collégiens et le développement de leur propre activité scolaire, en liant dimension subjective du travail et préoccupation d’avenir des adolescents. Dans l’exemple présenté, la rencontre entre l’activité des professionnels et des élèves se fait autour de la notion de risque dans le cadre d’un dispositif didactique conçu conjointement par une enseignante de français et une conseillère d’orientation-psychologue. Ce dispositif est centré sur la maîtrise de l’argumentation et l’appropriation de « rôles » professionnels par les élèves pour argumenter la question des risques pris à l’adolescence dans une situation qui prend la forme d’un débat télévisé. Dans ce cadre, une élève conduite à tenir deux rôles professionnels et à soutenir deux thèses opposées est amenée à convoquer la notion de prise de risques dans sa propre activité scolaire. L’article montre que l’analyse des deux situations permet à l’élève d’enrichir sa maîtrise du genre discursif de l’argumentation et de faire retour sur sa propre activité en lui offrant la possibilité de d’enrichir le concept de risque au plan de la signification et du sens.

 

Pierre VÉRILLON, Régis OUVRIERBONNAZ

Le document d’information sur les métiers : un instrument au service du développement de l’activité en situation d’orientation ?

L’étude présentée repose sur une approche instrumentale des situations didactiques de connaissance du monde professionnel mettant en avant le rôle des outils comme organisateurs de l’activité des formateurs et des formés. Après la présentation du cadre théorique, les auteurs évoquent un travail de découverte du métier de secrétaire et discutent la transformation de la fiche métier de l’onISEp « métier du secrétariat » par des élèves de bEp bureautique en vue de sa transmission à d’autres élèves de la même section. Afin de mieux comprendre le rapport des élèves à l’outil didactique mobilisé, l’article présente deux cas contrastés de reconception de la fiche qui montrent que, sous certaines conditions, au-delà de la connaissance du métier pour autrui, c’est le développement du métier lui-même qui fait l’objet des préoccupations des élèves.

 

Alain CRINDAL

Construire des dispositifs de découverte du monde professionnel : une question didactique

Selon l’auteur, parler du travail dans l’école relève de question didactique. A partir du constat que les formes scolaires actuelles de la « découverte professionnelle » ne discutent guère les contenus envisagés, l’article s’efforce de montrer qu’un enseignement d’acculturation concernant la connaissance du monde professionnel, pour être efficace, nécessite la construction d’un dispositif d’acquisition de connaissances spécifiques où les questions d’acculturation sont envisagées sous l’angle du lien à établir entre l’activité des élèves et les activités des professionnels. Dans le système didactique présenté, les contenus potentiels de cet enseignement de découverte professionnelle sont mis en relation avec un cadre méthodologique permettant aux enseignants et aux élèves de rendre compte du réel des activités professionnelles. pour varier les façons d’appréhender ces connaissances singulières, l’auteur suggère d’orienter les situations d’enseignement à travers trois registres d’appropriation – informatif, compréhensif et constructif – qui sont présentés et discutés à l’aide d’un exemple d’activité professionnelle.

 

Martine ALORY

Une pratique de formation d’accompagnateurs en VAE : le retour sur le parcours des candidats

La réflexion qui s’engage à travers cet article a pour objet une séquence de formation sur « le travail sur le parcours » du candidat à la vAE dans le cadre des formations d’accompagnateurs du ministère de la Jeunesse, des Sports et de la vie associative. Il s’agit de mettre au jour la démarche pédagogique et son évolution. L’auteur identifie les ressources de ce développement de son activité de formatrice dans l’analyse qu’elle a réalisée sur sa propre activité d’accompagnatrice et de membre de jury dans le cadre de la vAE, notamment, à partir d’un travail engagé avec l’équipe clinique de l’activité du CnAM et avec un collectif de pairs formateurs. Le développement de cette activité de formation situe alors l’activité du candidat et l’activité de l’accompagnateur au coeur du processus pédagogique qui tente d’emmener chaque participant à se situer comme un acteur du développement de sa propre activité d’accompagnement.

 

Jean-Michel BESSON

De l’analyse de l’activité en jurys à la formation des jurys en validation des acquis. Histoire d’une migration

Des formateurs de membres de jurys VAE analysent leur propre activité de jury pour développer leur activité de formateurs. L’analyse de l’activité, conduite selon la méthode de l’autoconfrontation croisée de l’équipe clinique de l’activité du CNAM, interroge les styles d’évaluation en jury et l’usage des référentiels. La mise en débat de ces questions dans un collectif de formateurs produit des effets en formation. Ces effets proviennent de la migration des ressources issues de l’analyse de l’activité de membres de jurys vers l’activité de formation, mais aussi de celle des méthodes de la recherche vers l’activité de formation. Le travail a permis de développer des méthodes de formation visant à mettre les participants en situation de penser leur pratique.

 

Alex LAINÉ

Quand le sens de l’activité ordinaire change d’orientation

Cet article se donne pour visée de montrer comment le processus de préparation accompagnée d’un dossier de validation des acquis de l’expérience peut amener le candidat à considérer son orientation professionnelle sous un angle radicalement nouveau. A cette fin l’auteur prend appui sur l’analyse de deux pratiques concrètes d’accompagnement en VAE, avec les effets de reconnaissance qu’elles ont produits, mais aussi sur une longue expérience de ce type de pratique au sein du ministère de la Jeunesse, des sports et de la vie associative, selon une méthode spécifique d’accompagnement et également sur les concepts et modèles d’analyse empruntés pour une part à la clinique de l’activité – principalement ce qui relève de la tension entre concepts quotidiens et concepts scientifiques – et, pour une autre part, aux philosophies de l’existence – en l’occurrence le concept d’historicité et la façon dont il éclaire le rapport entre analyse réflexive du passé et capacité d’infléchir le cours de sa vie à venir.

 

Mylène ZITTOUN, Bernard PROT

Evaluer les effets d’une intervention en clinique de l’activité : une question de méthode

Les auteurs s’interrogent sur la manière d’évaluer une intervention conduite par des chercheurs, sur une assez longue durée, avec un groupe professionnel, dans une approche de clinique de l’activité. Cette intervention avait consisté à seconder le travail d’un collectif de formateurs chargés de concevoir et d’animer des formations de jurys en validation des acquis. Mais la question étudiée vaut pour d’autres contextes. Le texte fait état d’une tentative d’évaluation des effets de l’intervention, il présente la modification de l’hypothèse à laquelle il a fallu procéder après les premiers essais. Il avance alors l’idée que c’est l’instauration d’un nouveau cadre de co-analyse, développemental, instruit avec les professionnels, qui permet de prendre la mesure des transformations. Des transcriptions et des analyses de matériaux viennent appuyer cette idée et constituer la base empirique d’une réflexion qui pourrait être croisée avec d’autres approches et prolongée sur le plan théorique.

 

Muriel HENRY

Du travail au langage sur le travail : un développement

Le langage est aujourd’hui largement mobilisé dans l’analyse du travail, y compris dans l’orientation quand celle-ci porte sur le travail. Après une rapide revue de questions sur les conceptions du langage au travail et dans son analyse, l’auteure s’attache à regarder ses développements dans le cadre d’une méthodologie précise : celle des autoconfrontations croisées, développées en clinique de l’activité. Ici, le commentaire sur l’activité de travail, entre deux professionnels et un chercheur porte sur l’entretien avec un candidat en vAE. Est mis en évidence le fait que le langage y réalise des variations et des différences. Dans ces écarts qui se creusent entre et dans les manières de faire, dans les significations elles-mêmes, « l’objet-lien » qui court alors de réplique en réplique se constitue en un objet problématique qui ne se laisse pas attraper – comment diriger un entretien en vAE ? Qu’est-ce qu’un entretien directif ? S’il porte le dialogue en cours toujours au-delà de lui-même, il mobilise ici d’autres histoires professionnelles, engageant ainsi le développement de celle de la vAE.

 

Maryse BOURNEL BOSSON

Activités de travail et objets de dialogues

Le point de départ de cet article est un dispositif de co-analyse de l’activité organisé avec une équipe de conseillers en bilan de compétences qui souhaitaient travailler collectivement sur une séquence de leur activité, celle qui consiste à rédiger la synthèse en fin de bilan. Après avoir décrit les difficultés auxquelles se heurtent les conseillers dans la réalisation de cette tâche et exposé la méthodologie spécifique déployée dans la perspective de la clinique de l’activité (autoconfrontations croisées à partir de textes), un extrait de dialogue est analysé. La description porte sur la mise en évidence d’un « dur combat dialogique » au cours duquel les mots de l’autre sont repris et chargés de nouvelles orientations interprétatives, ils deviennent bivocaux. Entre les sujets, le réel et le langage, l’activité d’énonciation peut conduire, comme c’est le cas dans la situation présentée, à revisiter les modalités d’action et à en envisager de nouvelles.

 

Patrick MAYEN

Conseiller en point relais conseil : une activité inédite dans le champ de l’information/orientation/conseil

Cet article a pour but de caractériser le travail et les compétences professionnelles pour une nouvelle fonction de l’information/orientation : le conseil en point-relais-conseil en VAE. Il est issu d’une recherche-action avec un groupe d’analyse de pratiques qui a réuni douze conseillers dans un objectif de professionnalisation. L’analyse de pratique a été conduite selon une démarche d’analyse collective de l’activité et à partir du cadre théorique et méthodologique de la didactique professionnelle. Trois questions sont traitées. 1. Quelle est la structure de la situation de travail à laquelle les professionnels ont à faire ? 2. A quoi correspondent concrètement des activités telles qu’informer, conseiller ou identifier une voie de certification pertinente pour le demandeur d’un conseil ? 3. Comment et de quoi sont constituées les compétences des professionnels ?

 

Cédric FRÉTIGNÉ

Quand la « formation formelle » s’oppose aux « savoirs d’action ». Deux exemples en débat

Dans le cadre d’une étude portant sur la « fabrication » de la formation professionnelle en entreprise, l’auteur a notamment participé à une session de formation dans chacune des deux entités investiguées. Visant la réforme des pratiques professionnelles, ces formations ont vocation à initier le « changement », dans le domaine des comportements (plus grande homogénéité des pratiques) et des identités (plus fort attachement à l’entreprise). Or, ces sessions de formation sont le lieu d’oppositions entre les prescriptions du formateur à l’advenue de nouvelles pratiques professionnelles d’une part, et la référence des salariés en formation à leurs expériences de travail et leurs savoirs d’action d’autre part. L’objectif poursuivi est ici de restituer et d’analyser les termes de l’opposition et les modalités de la mise en débat : 1/ par le formateur, des « savoir-y-faire » détenus par les salariés ; 2/ par les salariés et au nom des savoirs fondateurs de leur professionnalité, des développements performatifs du formateur.

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