Revue internationale de référence en formation des adultes fondée en 1969.

N°215

2018-2
Autoformation et société de l’accélération

12,00 

Jean-Yves ROBIN : L’autoformation au risque de l’accélération. La mise en péril du sujet apprenant ?

Cet article présente un caractère heuristique. Il poursuit l’ambition de montrer combien l’autoformation existentielle repose sur des paradigmes anthropologiques différents de ceux qui émergent des pratiques relevant de l’autoformation cognitive ou éducative. Dans ces dispositifs, le recours au numérique en vue d’accélérer le processus d’apprentissage est de plus en plus fréquent. L’usage de ces outils participerait en certaines circonstances à la fragilisation du sujet apprenant.

 

Victor LE CHUITON, Théophile GROSS, Aude MERLET : Comment apprendre aujourd’hui ?

Entre accélération et autoformation, l’apprenant se retrouve face à une profusion de savoirs. Formation numérique et apprentissage expérientiel sont autant d’opportunités de s’enrichir qui requièrent néanmoins une nécessité de compréhension et d’appropriation.

Comment les sciences humaines peuvent-elles s’emparer de ces problématiques pour accompagner les nouvelles tendances qui en découlent ? A partir de leur expérience d’apprenants et de citoyens, les auteurs proposent une lecture critique des possibilités alternatives de formation.

 

Philippe CARRÉ : De l’autodidaxie aux big data : continuités et ruptures

Dans un milieu traversé d’effets de mode et de tendances éphémères, il est possible de saisir des continuités et des ruptures dans les discours et les pratiques qui se réclament de l’autoformation. Cet objet polysémique et fédérateur réunit plusieurs conceptions de la formation « par soi-même ». L’article propose un nouveau jalon dans l’analyse de ces évolutions. Après un rappel du centre de gravité que représente la notion d’agentivité en formation, l’auteur résume quelques enseignements sur les « nouvelles modalités de l’autoformation dans la société digitale », pointant l’émergence d’un nouveau territoire avec la notion de situation « semi-formelle » d’apprentissage.

 

Sandra ENLART : Les capacités à (se) développer dans un monde digital

Les capacités à développer dans un monde caractérisé par l’accélération sont-elles compatibles avec celles que réclame l’autoformation ? Si les formes de l’engagement nécessaire à l’autoformation changent du fait de l’abondance des ressources, la nature de cet engagement ne change pas. Et si l’accélération de la société fait émerger des capacités indispensables, on peut aussi adopter une position de refus de cette accélération et des capacités qui lui sont liées pour tenter de retrouver un monde de « résonances » plus propice à notre humanité.

 

Marc NAGELS : Société numérique de l’accélération et autoformation

Selon l’auteur, l’accélération de la société numérique n’est pas synonyme de rapidité des apprentissages. L’autoformation, comme toute (trans)formation authentique, requiert une agentivité individuelle et collective pour fixer des objectifs et rassembler des ressources. Cette dynamique ne dépend pas du rythme du développement des technologies numériques. L’article examine quelques effets de l’agentivité humaine sur le projet d’autoformation en contexte numérique.

 

Hartmut ROSA : De l’accélération à la résonance

Décélérer pour apprendre ? C’est la question posée au sociologue allemand Hartmut Rosa qui a particulièrement bien saisi certaines caractéristiques fondamentales de la période contemporaine à travers la notion d’accélération : il s’agit moins de décélérer que d’entrer dans un nouveau rapport au monde, marqué par une relation de résonance avec lui, permettant au monde d’entendre et de parler. On perçoit l’ancrage théorique d’Hartmut Rosa dans la théorie critique de l’Ecole de Franckfort comme dans celui des sciences de l’esprit allemandes. Les ressources de l’univers notionnel allemand et du concept de Resonanz sont des outils précieux pour penser l’avenir dans la période contemporaine.

 

Nathanaël WALLENHORST : L’accélération : opportunité ou inopportunité ? Pour quels apprentissages ?

Quelle incidence l’accélération contemporaine a-t-elle sur les apprentissages ? L’auteur propose une réception formative des travaux d’Hartmut Rosa. Quels sont les apprentissages favorisés par l’accélération et quels types d’apprentissages permettre aux individus ? Après un détour conceptuel par la pensée existentielle allemande, l’article propose une modélisation théorique à partir de trois dimensions de la condition humaine : vie, monde et coexistence. L’auteur montre la façon dont l’accélération survalorise les apprentissages de la vie ; il suggère de favoriser les apprentissages du monde et ceux de l’existence, notamment à travers la notion de citoyenneté existentielle.

 

Thierry CHARTRIN : Les décélérations forcées comme source d’autoformation

L’homme de la modernité tardive souffre de famine temporelle ; il court après le temps, remplit son agenda et parfois regrette de ne pas s’occuper assez de ses proches et de lui-même. Est-ce cela vivre ? Selon Sénèque, il s’agit plus d’exister ! Paradoxalement, certains événements dramatiques offrent à l’homme une autre manière de vivre plus intense, authentique et reliée. Sujet bovaryque par essence, l’homme peut, dans un processus d’autoformation existentielle et sous certaines conditions, devenir un sujet argentique.

 

Jean-Pierre BOUTINET : Le retour sur l’expérience comme autoformation : un contrepoint à l’accélération ?

L’auteur s’intéresse à deux temporalités opposées, susceptibles d’encadrer les pratiques  d’autoformation : l’expérience et l’accélération. Quel peut être l’apport de chacune aux pratiques d’autoformation ? Tenter de répondre à une telle question, c’est d’abord situer ces deux temporalités au regard de celles qui encadrent toute action, pour appréhender ensuite l’expérience dans ce qui fait son ambivalence et l’accélération dans son caractère éphémère. Ces deux temporalités ont des rôles contrastés dans les pratiques d’autoformation : la première joue un rôle essentiel, la seconde occupe une place plus périphérique.

 

Gilles PINTE : Jusqu’où accélérer les dispositifs de reconnaissance et de validation des acquis de l’expérience ?

Depuis sa création en 2002, on reproche au dispositif de VAE une lenteur entre la phase d’information et l’étape du jury. Le dispositif est ballotté entre des injonctions paradoxales. Les pouvoirs publics veulent accélérer les étapes de ce dispositif et, dans le même temps, les acteurs de la VAE (candidats et accompagnateurs) reconnaissent que la préparation d’une VAE demande des temporalités longues. A travers une analyse de contenu d’articles publiés dans Éducation permanente, l’auteur tente d’expliciter ce paradoxe.

 

Laure LÉGER : Préserver l’attention dans les apprentissages 

L’article présente le fonctionnement de l’attention durant les apprentissages afin de les faciliter. Ce processus, essentiel, permet à l’apprenant de sélectionner dans son environnement les informations pertinentes, et d’orienter ses ressources mentales vers telle ou telle activité. Or notre attention est de plus en plus sollicitée et détournée de notre but premier. Il est possible de concevoir des formations qui prennent en compte les limites et les mécanismes attentionnels pour optimiser les apprentissages et réduire le détournement de l’attention.

 

Olivier LAS VERGNAS : Communautés de pratiques en ligne : e-learning informel et autoformation non intentionnelle

Les publications parlant de e-learning concernent surtout des outils conçus pour faire apprendre (e-teaching). L’auteur s’intéresse aux activités qui correspondraient plus à la qualification de e-learning informel ; il se focalise sur des personnes qui s’autoforment en ligne, non pas intentionnellement mais en conséquence indirecte de leur volonté d’agir ou de résoudre des problèmes dans leurs loisirs ou dans leur vie quotidienne. Trois cas montrent que c’est ce régime que l’on observe avec les activités en ligne dites de « do it yourself » ou de « sciences participatives ». Ces activités se révèlent très apprenantes ; elles induisent des opportunités de réflexivité en lien avec la constitution de e-communautés de pratiques.

 

Jérôme ENEAU, Caroline LE BOUCHER,  Elzbieta SANOJCA : Le temps des autres pour se former soi-même

Se former avec et par les autres repose sur des relations interpersonnelles, toujours fragiles, qui se construisent sur des temps longs. A partir de deux études empiriques, l’article questionne les temporalités de l’autoformation et de la coformation, et relève, du point de vue individuel et collectif, les conditions préalables, les régulations à moyen terme et les transformations ou réactualisations possibles, à plus long terme encore, tant des trajectoires individuelles que des dispositifs, dans leur ensemble.

 

Christoph WULF : Rituel et identité dans une société d’accélération du temps

L’auteur met en évidence les liens étroits entre l’apprentissage, les rituels, l’accélération et la décélération. Il insiste particulièrement sur le processus de fabrication identitaire dans un contexte où la vitesse et la rapidité ont bouleversé les rythmes des individus et leur rapport à l’espace. Les rituels remplissent une fonction essentielle ; leur caractère performatif s’exprime particulièrement dans un contexte où prime la vitesse au détriment de la lenteur.

 

Dominique KERN : L’autoformation tout au long de la vie : même après la retraite !

La formation étant définie comme un soutien structuré apporté à un apprenant, l’autoformation désigne un type de formation où l’apprenant s’apporte un soutien à lui-même. Depuis l’Antiquité, l’autoformation est un élément de réflexion sur les adultes plus âgés. Les quatre champs thématiques (hétérogénéité, perception de la temporalité, accumulation d’expériences et modifications de la perception) utilisés comme analyseurs des particularités de ces apprenants montrent qu’ils restent des apprenants comme les autres, même si la modification de leur statut peut rendre plus difficile l’accès aux dispositifs permettant l’acquisition des compétences nécessaire à l’autoformation.

 

Claire HÉBERSUFFRIN : Réciprocité et permanence. Détours pour une autoformation solidaire

Quatre équations singulières sont ici décrites et commentées : équation temporelle personnelle, équation distancielle personnelle, équation cognitive et sociocognitive personnelle. En prendre conscience accroît l’autonomie de l’apprenant et ses aptitudes à la coopération. L’arrivée du numérique peut enrichir ces équations, les perturber, les contrarier, en détruire la complexité, donc leurs évolutions positives possibles pour des apprentissages réussis tout au long de la vie. Ces évolutions, toujours singulières, pourraient s’augmenter d’être solidaires ! Les échanges réciproques de savoirs développent les prises de conscience par chacun de ses propres équations, lesquelles enrichissent les formations réciproques et solidaires.

 

Thierry CHARTRIN, Pascal GALVANI, Bernard HONORÉ, Gaston PINEAU, Nathanaël WALLENHORST : L’autoformation comme attention à l’existence et l’œuvre de Bernard Honoré

Cet article collectif fait suite à une table ronde autour de l’œuvre de Bernard Honoré à partir des lectures critiques de quatre chercheurs en sciences de l’éducation et de la formation. La forme de l’article a conservé en partie la diversité des points de vue de chacun des contributeurs appartenant à différentes générations.

 

Gilles VERNET : Que transmettre dans la société de l’accélération ?

Prolongeant sa réflexion inaugurée par son film-documentaire Tout s’accélère !, Gilles Vernet souligne ici la course contre le temps qui caractérise désormais la formation et l’enseignement, conduisant à notre actuelle « crise de la patience ». Si celle-ci enrichit à plusieurs égards la relation d’apprentissage, elle la malmène aussi, risquant de nous faire oublier qu’il n’est pas de transmission sans amour, et pas d’amour sans lenteur…

 

Mickael VICENTE : Les dérives commerciales des organismes privés de formation à l’informatique et leur contrôle (1971-1990).

Dès la fin des années 1960, s’appuyant sur la méconnaissance de l’informatique par le grand public, un certain nombre d’organismes de formation, notamment ceux proposant des cours à distance, ont usé de pratiques commerciales malhonnêtes, principalement de publicité mensongère. L’article décrit les discours produits et les publics auxquels s’adressent ces organismes, pour aider à comprendre plus précisément comment, à partir de 1971, les politiques de contrôle de ces dérives qui ont été mises en place ont pu faire face à des stratégies de contournement de la part de certains organismes.

 

Christine BRISSET, Pascal GOGUETCHAPUIS : Pour une pratique de la médiation cognitive dans le travail social

Les difficultés liées aux évolutions rapides de la vie dite « moderne » déséquilibrent parfois l’individu, générant mal-être et souffrance. Elles fragilisent le sentiment de compétence en situation personnelle et professionnelle. Les travailleurs sociaux de la Mutualité sociale agricole sont confrontés à l’exposé de situations que leurs publics ne parviennent ni à comprendre ni à gérer. Une formation à la médiation cognitive a été développée pour ces professionnels de l’accompagnement social afin de favoriser, chez les bénéficiaires, la prise de conscience de leurs besoins et de leurs acquis.

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