Revue internationale de référence en formation des adultes fondée en 1969.

N°200

2014-3
S’étonner pour apprendre

12,00 

Daniel HAMELINE

Petite métaphysique de l’étonnement

Y a-t-il lieu de s’étonner que l’on s’étonne ? L’étonnement manifeste le souci de se défendre de l’étrange et d’en préserver le familier qui nous rassure dans notre monde à nous et maintient la bonne distance avec les choses et les gens. L’étrange étonne, non parce qu’il est loin, mais parce qu’il est tout près. Comment expliquer alors que cette réserve à l’égard de ce qui « arrive » puisse se muer en « admiration » ? Le risque de se leurrer est grand. Pourquoi ne pas tenter de doubler l’admirator par le demirator ? Le terme n’a pas d’équivalent en français et existe à peine en latin ! Mais son évocation n’est pas sans conséquence sur notre philosophie de l’étonnement.

 

Philippe MEIRIEU

Mais où est donc passé l’étonnement ?

Entre la routine qui enferme et le sensationnel qui tétanise, l’étonnement n’a guère de place aujourd’hui. Il occupe pourtant une fonction essentielle dans l’accès à la véritable connaissance : il met en route l’esprit, ouvre à l’exploration et rend possible la recherche. A ce titre, il doit occuper une place centrale dans toute éducation et toute formation. Il déstabilise les systèmes de représentations en introduisant un écart entre ce qui était attendu et ce qui advient ; il est le signe de reconnaissance qui, au-delà d’un récit, un modèle ou une théorie donnés, permet de restabiliser, de manière nécessaire et provisoire, un système de représentations plus complet. La dialectique de l’écart et de l’évidence – qui renvoie à l’articulation entre l’exploration et la formalisation – apparaît ainsi comme la démarche formative par excellence…, dès lors, bien sûr, qu’elle est pratiquée par des formateurs et des formatrices qui vivent encore eux-mêmes l’étonnement consubstantiel de toute connaissance.

 

Jean-Pierre BOUTINET

Evénement et étonnement : pour quel apprentissage ?

L’étonnement, cette surprise qui ne laisse pas insensible, peut être engendré par la découverte d’un insolite ; il peut l’être aussi par la survenue extérieure d’un événement qui déstabilise. Dans les deux cas, il rejoint une préoccupation très actuelle, qui accorde une grande importance à la pensée interrogative pourvoyeuse d’un apprentissage par soi-même. Cet apprentissage, encore qualifié d’autoformation, voire d’apprenance, consiste à devenir auteur de sa formation tout au long de la vie. En se cantonnant au seul étonnement par l’événement, on observe sa grande actualité à travers un retour de l’événement sur la scène contemporaine, favorisée par la place qu’occupent l’information et sa communication. Mais pour être source d’apprentissage, tout événement vécu implique certaines conditions, liées à sa nature plus ou moins heureuse ou plus ou moins tragique, et à sa réceptivité par son destinataire, chargé d’assumer ce qui risque de le déstabiliser.

 

Guy JOBERT, Joris THIEVENAZ

L’homo demirans ou l’homme qui, s’étonnant, devient connaissant

Cette contribution aborde la thématique de l’étonnement en lien avec les questions d’éducation et de formation à travers la caractérisation d’une figure anthropo-logique qui serait celle de l’« homme s’étonnant de », littéralement l’homo demirans. En partant du constat que le processus d’étonnement représente le « générateur » de la démarche de connaissance, l’article propose d’étudier les conditions de son apparition, ainsi que ses effets potentiels sur le vécu du sujet. Les auteurs illustrent leur propos à partir d’une étude de cas issue d’une recherche conduite auprès des hommes du nucléaire. Ils montrent comment de cette réflexion découlent des propositions d’ordre pédagogique et didactique susceptibles d’intéresser la formation des adultes.

 

Jacques ARDOINO

Pédagogie de l’étonnement et pédagogie de la surprise

En partant du constat selon lequel l’inopiné semble occuper une place non négligeable dans notre quotidien, l’auteur engage une réflexion pédagogique à partir de notions issues du langage ordinaire : l’étonnement et la surprise. Tout en reconnaissant les vertus incontestables d’une pédagogie de l’étonnement dans l’histoire des idées, il étudie la possibilité d’envisager une pédagogie de la surprise. En partant du principe qu’il y a dans la surprise l’idée d’un choc, qui n’existe pas nécessairement dans l’étonnement (puisqu’il peut être étalé dans la durée), l’article aborde plus particulièrement deux problématiques : la prise de conscience de la réalité d’autrui ainsi que celle de la disponibilité à la surprise dans une optique d’apprentissage.

 

Patrick MAYEN

Apprendre à s’étonner

La notion d’étonnement se révèle pertinente lorsqu’on souhaite étudier les situations de travail au sein desquelles les acteurs « dérangés » ou « déstabilisés » par une difficulté doivent s’engager dans une activité de recherche, de diagnostic ou d’enquête, au sens de Dewey. Cette contribution aborde la thématique de l’étonnement en s’appuyant sur plusieurs exemples issus du monde du travail au sein duquel des sujets font l’expérience d’une rupture d’anticipation à l’occasion de la conduite de leur action. Les rapports entre travail et apprentissages sont étudiés sous l’angle de l’« expérience-étonnement » vécue par un acteur lorsque celui-ci est confronté à des phénomènes inattendus ou problématiques à l’égard desquels il doit s’engager dans un processus réflexif ou intellectif.

 

Jean-Paul BRONCKART

L’étonnement, fondateur d’un parcours de vie et de recherche

Dans cet entretien, l’auteur évoque d’abord l’étonnement fondateur de l’œuvre de Piaget (l’écoute des enfants constitue une méthode de traitement des questions épistémologiques), ainsi que les raisons pour lesquelles ce savant eut par la suite de la peine à être étonné. Après avoir évoqué l’étonnement fondateur de sa propre démarche (la puissance heuristique de la psychologie soviétique), et considéré que l’étonnement scientifique procédait d’une posture d’humilité face à notre inéluctable ignorance, il propose une analyse de l’étonnement fondée sur les modalités de rapport entre monde vécu et mondes formels de connaissance.

 

Pierre VERMERSCH

Surprises, découvertes, étonnements : l’entretien d’explicitation et l’éveil de la mémoire passive

L’entretien d’explicitation se rapporte toujours à un vécu passé. De ce fait, un élément essentiel de sa technique est l’accès à la mémoire du vécu. Par le guidage vers un mode de rappel particulier : l’évocation, il est possible d’éveiller à nouveau ce que nous avons mémorisé à notre insu de manière passive. Le fait que nous nous rappelons facilement notre vécu, beaucoup plus que ce que nous croyons consciemment en savoir, est une grande source d’étonnement qui offre de nombreuses possibilités inédites pour la recherche et l’intervention.

 

Joris THIEVENAZ

Repérer l’étonnement : une méthode d’analyse du travail en lien avec la formation

A partir du principe selon lequel l’étonnement joue un rôle significatif dans le processus d’apprentissage, l’article propose différents outils permettant de distinguer, de repérer et d’analyser les étonnements du sujet à l’occasion de la conduite de son action. Dans cette optique, le procès d’étonnement mais également les expressions de ce procès ainsi que ses effets potentiels sur le développement du sujet sont spécifiés dans un projet plus général d’intelligibilité des modalités de construction de l’expérience et de développement du sujet en situation d’action.

 

Michel FABRE

De l’étonnement au problème

L’étonnement peut aussi bien éveiller que sidérer. Le besoin de savoir conduit indifféremment au mythe et au rationnel. Et cependant, la pensée ne s’éveille que forcée par le paradoxe ou par l’énigme. L’empirisme, qui voit dans l’observation l’origine de la science et institue la « leçon de choses » à l’école, ne résiste pas aux objections d’une pédagogie de l’étonnement. Mais l’étonnement ne devient heuristique que si le questionnement qu’il induit se dédouble en une pensée à deux dimensions articulant données et conditions du problème, comme le voulait Gaston Bachelard. Si l’étonnement invite à la formation continuée, celle-ci n’est authentique que comme pensée surveillée. La formation est problématisation des objets de pensée et de soi-même aussi.

 

Yves SCHWARTZ

Étonnement, énigme et sciences humaines

L’étonnement est-il le moteur de la connaissance ? Oui sans doute, dans la mise en scène de la philosophie ; oui en partie quand la connaissance vise de vraies « matières étrangères » (mathématiques, sciences de la nature…), c’est-à-dire des objets sans commensurabilité avec nos modes anthropologiques d’exister. Mais lorsqu’il est question de connaissances portant sur nous-mêmes comme vivants humains, l’étrangeté de la matière a-t-elle le même statut ? Plutôt que d’étonnement face à des écarts surprenants, non anticipés par des lois ou des modèles, ne faudrait-il pas parler d’« énigmes » à résoudre ? En s’appuyant sur trois exemples de situations de travail, l’auteur suggère que le moteur du savoir est ici l’interrogation sur le mode de métabolisation spécifique, localement actualisé, de processus commensurables à tout agir humain.

 

Paul OLRY

S’étonner au travail : quel rapport à la prescription ?

Les systèmes productifs entretiennent un rapport ambigu à l’étonnement. Entendu comme surprise, il interroge des choix et des organisations, des pratiques et des compétences, des conceptions et des croyances. Il contraint l’« étonné » à argumenter sa surprise. Initié par la surprise, l’étonnement est ici abordé comme résultant de l’enquête à propos de ce qui est à faire, auquel la prescription du travail répond plus ou moins. L’auteur l’analyse sous un triple angle : son rapport paradoxal à la prescription, son rapport à l’action et son rapport au temps. Il propose des illustrations prises dans différents domaines professionnels.

 

André. D. ROBERT

L’entreprise éducative au prisme de la notion de « forme scolaire » : retour sur quelques étonnements dans un itinéraire

L’auteur rend compte d’un itinéraire de recherche jalonné d’étonnements ayant permis de réaliser ce qu’il estime être des avancées réflexives. La « forme scolaire » est analysée quant à son pouvoir de complexifier certaines visions unilatérales de l’entreprise éducative, sur le versant de l’émancipation comme sur celui de la reproduction. Cette notion a été retravaillée avec des outils susceptibles d’en modifier la signification ultime, non pas dans le sens d’un retour à l’idée d’une émancipation collectivement assurée, mais dans celui d’un possible retournement individuel, de la position d’assujetti à celle de sujet pleinement assumé, au contact de savoirs qui en valent la peine. La mise en cause de la notion même de savoir par le postmodernisme est source d’un nouvel étonnement qui oblige à refonder une conception critique et porteuse de sens unificateur. Finalement, l’étonnement, qui peut initialement apparaître engourdissant à la manière du poisson-torpille dont parle Socrate, agit plutôt, dans cet itinéraire, comme catalyseur de « tournants de carrière » à dimension heuristique.

 

Mireille CIFALI BEGA

Une clinicienne saisie d’étonnement

L’auteure découvre une « langue de l’étonnement » chez des artistes, des scientifiques et des thérapeutes, pour saisir ensuite comment on y recourt dans l’éducation et la formation, l’étonnement risquant d’y faire slogan et de se vider de son essentiel. Quel formateur est-il étonnant et d’où surgit une telle attitude professionnelle ? L’étonnement s’apprend-il et comment en vient-il à disparaître dans un « rien n’étonne » ? De telles questions sont soulevées, mêlant enjeux psychiques et sociaux.

 

Christine REVUZ

« Déçu en bien » ou l’étonnement comme pratique

Loin d’être une attitude que l’on peut prescrire et instrumenter, l’étonnement est une disposition – radicalement ouverte – à questionner et à mettre en énigme ce qui est. Cette qualité, condition du respect dans le rapport à l’autre, est le levier qui permet de retrouver un chemin de pensée et d’action au sein des organisations de travail. Les formations menées en s’appuyant sur les techniques du clown de théâtre permettent de développer la capacité à s’étonner en retravaillant de façon systématique et ludique la manière qu’a chacun d’expérimenter le réel et d’y tracer son chemin.

 

Max MASSE, Grégory GOUYET

Co-inventer l’étonnement dans un dispositif de professionnalisation

L’approche didactique de l’étonnement s’inscrit ici dans un dispositif de professionnalisation interministériel de la fonction publique française. Les auteurs détaillent leur posture professionnelle et scientifique, ainsi que le cadre théorique de référence, leur outillage méthodologique et les résultats empiriques. Ils montrent que ce n’est pas l’étonnement qui fait la professionnalité, mais la confrontation à l’étonnement qui est source de professionnalisation.

 

Daniel MARCELLI

Surpris, étonné, déconcerté… Comment chatouiller la curiosité du lecteur ?

Surpris, étonné, déconcerté, voilà trois dispositions psychiques liées les unes aux autres et autour desquelles gravitent à la fois la capacité d’apprendre et celle d’être créatif. Aujourd’hui, l’étonnement a beaucoup perdu de sa puissance dévastatrice ; la « commotion violente » initiale s’est transformée en surprise, et l’étonnement s’attache à décrire la disposition intellectuelle et cognitive plutôt que la dimension affective qui, elle, reste le propre de la surprise. Faut-il, pour pouvoir s’étonner, avoir vécu des surprises ?

 

Philippe ZARIFIAN

Vivre avec la maladie, c’est ne pas cesser de s’étonner

En s’appuyant sur une expérience personnelle, celle d’un séjour de longue durée à l’hôpital, l’auteur montre comment la maladie est l’occasion pour celui qui la vit d’une succession d’étonnements. Il retrace quelques étapes décisives et « vitales » de son parcours de soin, au sein desquelles surviennent l’étonnement mais aussi l’angoisse lorsque le décalage entre le « vouloir » et le « pouvoir » se fait sentir. Qu’est-ce en effet qu’être malade, sinon subir une limitation de nos capacités de vivre ? Le vivre ordinaire devient alors un lieu et un moment d’apprentissage et d’étonnement presque permanent lorsque, quand nous souffrons, nous redécouvrons nos capacités d’agir et de penser.

 

Daniel MARCELLI

Surpris, étonné, déconcerté… Comment chatouiller la curiosité du lecteur ?

Surpris, étonné, déconcerté, voilà trois dispositions psychiques liées les unes aux autres et autour desquelles gravitent à la fois la capacité d’apprendre et celle d’être créatif. Aujourd’hui, l’étonnement a beaucoup perdu de sa puissance dévastatrice ; la « commotion violente » initiale s’est transformée en surprise, et l’étonnement s’attache à décrire la disposition intellectuelle et cognitive plutôt que la dimension affective qui, elle, reste le propre de la surprise. Faut-il, pour pouvoir s’étonner, avoir vécu des surprises ?

 

Philippe ASTIER

Figures de l’étonnement

L’étonnement révèle un sujet bien différent de ceux que proposent les discours scientifiques et de gestion. Loin, mais peut-être pas tant, de la compétence, c’est un sujet dont l’action est suspendue, qui se confronte au monde et fait ainsi « acte de présence et de pensée » devant la nécessité de remettre en cause savoirs et certitudes pour faire face aux situations. Cela le met en fragilité avec le monde mais aussi avec les pouvoirs institués. Ainsi, l’étonnement peut s’appréhender comme l’orée d’une démarche de développement personnel et professionnel possible autant que comme la confrontation à des difficultés sans fin. Les différences entre ces « destins d’étonnements » débouchent sur la prise en compte de la contribution de ces moments à des dynamiques d’émancipation et d’affirmation de soi, mais aussi sur l’éventualité d’un apprentissage social de ce qui pourrait être un « art de vivre ensemble » dans les sociétés démocratiques.

 

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