Revue internationale de référence en formation des adultes fondée en 1969.

N°230

2022-1
Aller sur le terrain

21,50 23,00 

Brigitte ALBERO
De quoi la notion de « terrain » rend-elle compte ? Délimitations, risques et questionnements

Utilisé en recherche comme dans les pratiques socioprofessionnelles, le « terrain » désigne bien plus qu’il n’y paraît. L’attention portée aux conceptions les plus communes (lieu de l’enquête ou de l’action, objet de recherche, positionnement pragmatique) conduit à en dégager les risques (naturalisation, réification) et les conséquences (homogénéisation, standardisation) pour mettre en évidence des aspects sous-jacents, le plus souvent non questionnés car non conscients ou implicites. Cette mise en problématique d’un terme à l’apparente évidence alors qu’il relève d’un construit social à décoder (ou à déconstruire), conduit finalement à en étudier des aspects plus complexes et fructueux (expérience, pratique, relation, travail) que seule une réflexivité critique et éthique permet d’ajuster individuellement et collectivement, donnant à ce processus (épistémique, émotionnel, instrumental, social) une fonction fondamentale d’éducation et de formation.

François LAPLANTINE
L’expérience du terrain

Cet échange est le fruit d’une rencontre avec François Laplantine, professeur honoraire à l’université Lumière-Lyon 2 où il a fondé le département d’anthropologie. Ses recherches conduites en Afrique, au Brésil, et plus récemment au Japon, interrogent les voies et les modes de production de connaissances sur l’humain. En convoquant tour à tour les apports de l’anthropologie, de la philosophie, de la psychanalyse ou de l’expérimentation artistique, l’auteur invite à interroger la question du corps, du sensible, de l’intime, et de la présence du chercheur dans ce qu’il nomme l’« expérience du terrain ».

Jean-Pierre OLIVIER de SARDAN
L’enquête qualitative et le point de vue des acteurs

En éducation comme dans bien d’autres domaines, les indicateurs quantitatifs tiennent le haut du pavé. Le registre de la preuve légitime repose essentiellement sur des statistiques, sondages, taux, seuils, données chiffrées et agrégées… Pourtant, de nombreux éléments décisifs pour comprendre les processus à l’œuvre restent inaccessibles par ces procédés. Recueillir le point de vue des acteurs, observer leurs interactions, analyser les routines ou déchiffrer les tensions, tout cela implique le recours à des méthodes qualitatives. L’enquête qualitative implique que le chercheur produise lui-même ses données grâce à son immersion personnelle dans un ou plusieurs sites, au plus près du quotidien, au cœur des contextes locaux dans lesquelles les politiques éducatives prennent place, et où elles sont soumises aux réactions, adaptations et contournements des acteurs concernés.

Alain COULON
Observer, écouter, décrire. Ethnométhodologie et recherche qualitative

Après avoir rappelé le renversement théorique opéré par l’ethnométhodologie et les contre-sens fréquents qui y sont associés, l’article développe quelques-uns des traits de l’ethnométhodologie, en tant que sociologie des accomplissements pratiques, qui cherche à enquêter sur la pratique des acteurs sociaux ordinaires mettant en œuvre leurs savoir-faire sociaux à travers leurs « raisonnements sociologiques pratiques ». Cette compétence n’est pas réservée à quelques-uns (les sociologues par exemple), elle est exercée par tous les êtres humains dans leurs échanges quotidiens. En écho à certains concepts de l’ethnométhodologie, l’article développe trois opérations « élémentaires » que tout chercheur dans les domaines de la santé ou de l’éducation, et plus généralement en sciences sociales et humaines, peut facilement mettre en œuvre : observer, écouter, et décrire.

Bernard LAHIRE
L’invention méthodologique : le cas de l’interprétation sociologique des rêves

Mettre en œuvre les moyens méthodologiques usuels des sciences sociales à propos d’un objet aussi singulier que le rêve, ce serait inverser l’ordre des priorités, qui commande de partir d’un cadre théorique pour aller vers une méthodologie, et détruire à peu près totalement la spécificité de son objet. C’est de l’expérience d’une invention méthodologique répondant aux nécessités d’une théorie générale de l’expression onirique dont il va être question ici. L’article vise à préciser les conditions dans lesquelles les rêves sont recueillis, la nature des multiples entretiens réalisés auprès des rêveurs et rêveuses, le type de relation qui s’instaure entre l’enquêteur et l’enquêté, et le travail d’interprétation sociologique des rêves au croisement de deux types d’ignorance et de connaissance (chez l’enquêteur et chez l’enquêté).

Joris THIEVENAZ
Le travail de près, ou les détails de l’expérience

En partant du postulat selon lequel l’intelligibilité des activités humaines et des formes d’apprentissage qui leur sont sous-jacentes est à rechercher moins dans le détachement de moments exceptionnels que dans de discrètes occurrences ou phénomènes de faible ampleur, cet article étudie les situations et processus qui concourent à la construction silencieuse et ordinaire de l’expérience du sujet. Il s’agit de s’intéresser aux détails de l’expérience en prêtant attention à l’insignifiant, au négligé, au moins-que-rien. Une étude de cas à l’hôpital est l’occasion d’étudier comment les petits temps faibles de l’activité, sont déterminants dans la conduite de l’action ; une expérimentation avec des enseignants du secondaire permet d’envisager la formation comme un espace privilégié pour remettre le négligé au centre de l’attention. Il est possible de fonder une perspective de recherche et d’intervention dans laquelle les presque-riens de l’expérience sont mieux repérés, conceptualisés et opérationnalisés en tant que tels.

Jérôme GUERIN, Stéphane SIMONIAN
Aller vers le terrain : approche écologique de la dynamique scientifique

Cet article, propose, à partir d’une réflexion rétrospective portant sur plusieurs investigations, de prendre pour objet d’étude l’activité du chercheur dans le cadre d’interactions avec les autres acteurs du terrain et d’examiner les incidences de ces rencontres sur la construction des matériaux et, plus largement, sur le terrain de la recherche. Il s’agit ici de considérer l’enquête scientifique de manière écologique en tant que participant à la modification de propriétés d’un environnement de recherche, de travail ou de formation par un jeu d’influences conjointes produisant une situation, plus ou moins, propice au développement des acteurs (enquêtés et chercheur) et à la production scientifique.

Stephen BILLETT
S’engager sur le terrain : la recherche sur les lieux de travail

Cet article les conditions et les enjeux relatifs à une recherche de terrain sur les lieux de travail. Leurs impératifs sont généralement associés à la production de biens ou à la prestation de services, que les activités de recherche doivent prendre en compte. Il existe ainsi des conditions spécifiques à la recherche de terrain : justifier son intérêt ; être autorisé à la mettre en œuvre ; accéder aux activités professionnelles dont il s’agit de rendre compte. Pour cela, les chercheurs doivent s’adapter aux impératifs des lieux de travail, à la disponibilité des informateurs et aux contraintes de temps. Ils doivent également respecter certaines conditions pour garantir le bon déroulement des investigations pendant les activités liées au travail, accéder à des expériences professionnelles authentiques et maintenir des relations étroites avec les lieux de travail. L’auteur présente un ensemble de propositions en vue de conduire des recherches dans différents contextes professionnels.

Patrick MAYEN
En route pour le terrain…

Cet article propose d’énoncer et d’expliciter un certain nombre de principes souvent oubliés ou passés sous silence pour aller sur le terrain dans une perspective de recherche ou d’intervention pour répondre à des problématiques de formation. Il aborde ainsi des « petits » problèmes tels que l’envie et la crainte d’aller sur le terrain, des questions plus essentielles comme « c’est quoi le terrain ? », car dans chaque recherche ou dans chaque chantier, le terrain reste toujours à déterminer. Il propose aussi de prendre des distances à l’égard des dogmes théoriques ou méthodologiques tout en tenant ses cadres et en poussant ses méthodes jusqu’au bout. Il s’appuie sur un grand nombre d’anecdotes ou d’éléments d’expériences de l’auteur « avec le terrain ».

Laurent FILLIETTAZ
La plasticité des rapports aux terrains en formation professionnelle

Cette contribution vise à rappeler l’importance déterminante de l’expérience des terrains pour la recherche en formation professionnelle et surtout le caractère hybride, dynamique et pluriel de telles expériences. En revenant sur quinze années de recherches empiriques portant sur les interactions verbales en formation professionnelle initiale et continue, l’article met en évidence les configurations multiples et fluctuantes par lesquelles se cristallisent les rapports entre les chercheurs et les praticiens rencontrés sur les terrains.

Louis DURRIVE
Une approche ergologique de l’observation du travail

Observer le travail : la manière de s’y prendre est liée aux intentions de celui qui s’en approche (l’analyser, le contrôler, l’évaluer, l’organiser, le filmer…). Dans une démarche ergologique, le chercheur essaie de retrouver le point de vue de la personne au travail, avec ses débats de normes. Il s’agit alors d’approfondir le positionnement du sujet par rapport à l’objet, en se confrontant aux limites d’un regard extérieur. Les modalités de l’exercice et la place de chacun sont alors à repenser.

Angela BARTHES
Qu’apporte le terrain du géographe aux sciences de l’éducation et de la formation ?

La géographie est une science territorialisée qui repose sur la pratique de terrains : le géographe rapporte ce qui s’observe et le contextualise pour transformer l’observable ponctuel en une analyse d’ensemble. Il quantifie le terrain pour objectiver et comparer. Il remonte dans le passé pour proposer une prospective. Il parcourt les catégories socio-spatiales pour les caractériser et les mettre en relation. L’article illustre cette perspective par une étude de cas impliquant des épistémologies des sciences de l’éducation et de la formation et une pratique géographique de terrain. Il montre comment la pluridisciplinarité permet une interaction conceptuelle fructueuse et comment, en partant de problématiques socioprofessionnelles en éducation et formation, ce qui est défini comme un terrain d’étude peut être réexploré.

Marion PAGGETTI
Sur le terrain de la psychomotricité. Forcer le trait pour rendre compte des discrets ajustements du corps

Cette contribution traite un enjeu méthodologique lié à la documentation et à l’analyse des traces d’activité à dominante corporelle à partir de matériaux recueillis sur le terrain de la psychomotricité. Les micro-ajustements corporels réalisés par les sujets sont discrets et impliquent de recourir à un outil permettant d’en forcer le trait pour repérer les blocages auxquels fait face le sujet, mais aussi les postures et les attitudes qui caractérisent la séquence d’activité.

Sandra MILLONES
Sur le terrain de l’intime. L’expérience parentale dans l’accueil du premier enfant

Certaines expériences se construisent dans des espaces privés, protégés, qui constituent des terrains privilégiés pour approcher le développement du sujet dans ses aspects les moins visibles et les moins connus. L’entrée en parentalité est l’une de ces étapes emblématiques où le sujet adulte se confronte à des apprentissages fondamentaux dans un tournant de vie transformateur. L’intelligibilité des processus expérientiels, en particulier lorsque surviennent des situations inconfortables où se côtoient les émotions (doute, anxiété, peur…), dépend de la capacité du chercheur à les approcher dans leurs dimensions les plus intimes et de son aptitude à se laisser prendre par la spécificité du terrain qu’il explore.

Nawel KEDIDAH CHAIR
Sur le terrain de l’inattendu. Anticipation et préparation en salle d’accueil d’urgences vitales

Cette contribution vise à documenter les actes préparatoires à l’intervention de soin que réalise l’infirmier en situation d’urgence. Une attention particulière a été portée à l’un des gestes emblématiques qui consiste à la préparation d’un haricot contenant le nécessaire de perfusion, en amont de la prise en charge du patient. Les premiers matériaux récoltés et l’analyse qui en a été faite ont permis de rendre compte d’une fonction différente de ce geste, ainsi que d’une disparité entre infirmiers novices et infirmiers experts dans la gestion de l’inattendu.

Serge ÉLOI
La modélisation des conduites humaines : une stratégie pour investir les terrains

Expliquer le comportement d’humains qui interagissent nécessite d’aller à la rencontre de nos semblables et d’interférer avec eux pour comprendre ce qui les pousse à faire ce qu’ils font, comment ils le font et pourquoi ils le font. Le contexte de l’intervention éducative dans le champ des pratiques sportives dont il est plus particulièrement question ici permet de saisir l’enjeu d’une nécessaire clarification. Distinguer le terrain de sport et le terrain de recherche conduit à envisager une troisième sorte de terrain, celui du modèle permettant la manipulation virtuelle et l’anticipation des conduites. L’exemple du module service/réception en volley-ball montre qu’il est possible d’influer sur la sortie du modèle en jouant sur les variables que l’on peut contrôler à l’entrée du modèle. On est en mesure de déduire que c’est ce qui a été « injecté » dans le système qui permet d’obtenir la variation des résultats obtenus. C’est là une voie prometteuse pour mettre un peu d’ordre dans ce qui, de prime abord, semble être le chaos.

David Le BRETON
Un monde par corps : l’enfant et le monde sensible

Les gestes qui alimentent le rapport au monde et colorent la présence ne relèvent ni d’une physiologie pure et simple ni d’une seule psychologie, l’une et l’autre s’enchevêtrent dans une symbolique corporelle qui leur donne sens, et se nourrissent d’une culture affective toujours reformulée à la première personne. D’une société humaine à une autre, les hommes ressentent les événements de leur existence à travers des répertoires culturels différenciés. Ils voient, entendent, goûtent le monde de manière différente selon leur appartenance sociale et culturelle. L’enfant doit apprendre le monde pour en jouir. Pour la condition humaine, il n’y a pas d’autres moyens que d’éprouver le monde, d’être traversé et changé par lui, avec une conscience plus ou moins vive. Le corps est mêlé au monde et l’individu ne prend conscience de lui qu’à travers le sentir.

Christelle SOULARD, Jacques-Olivier HENON
(D)écrire les compétences : libertés et contraintes de la littérature certificative

Peut-être est-il temps de considérer les écrits certificatifs comme ils devraient l’être : des espaces d’expression encadrés, méthodologiquement stricts certes, mais vivants et sans limite dans la description des réalités observées. Ils laissent place à la stratégie, aux choix, à la liberté d’exprimer son métier. Ne s’en tenir qu’à leur aspect austère et aux contraintes qu’ils imposent conduit à considérer ces écrits d’une façon réductrice. Sans nier les points de progrès à réaliser, notamment dans l’explicitation de ce qui est attendu par l’instruction nationale ou la position à viser dans la stratégie de développement des compétences nécessaires à la vie professionnelle, il importe de saisir les opportunités qu’offre une telle rigueur pour ouvrir les espaces de créativité qu’elle permet.

Paul SANTELMANN
La VAE : une ambition salutaire, et pourtant…

La loi de janvier 2002 sur la validation des acquis de l’expérience était porteuse de beaucoup d’ambition pour les actifs peu qualifiés mais disposant d’une expérience sociale et professionnelle. En vingt ans, cette loi, transgressive dans un pays dominé par le culte du diplôme acquis en formation initiale, n’a pas donné les fruits escomptés. Non seulement la VAE est restée marginale malgré l’implication de nombreux acteurs de terrain mais elle est même en déclin. Cet article rappelle quelques éléments explicatifs de cette situation qui interpelle non seulement la politique publique, notamment le service public de l’emploi, mais aussi les partenaires sociaux.

 

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